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Les Chroniques des parleurs, Tome 1 : Le Nouveau Parleur



Description ajoutée par tek 2020-03-30T19:39:43+02:00

Résumé

Degan est un voleur reconnu du Bagne d’Avir. Vaquant à de malhonnêtes occupations, il s’en prend à une vieille femme apparemment sans défense, mais sa victime s’avère être une cible moins facile que prévu. Degan se voit même convaincu par des arguments frappants de suivre la mystérieuse vieille femme au cours d’un périple dont il ignore l’objectif. Cette dernière déteste les criminels et le fait bien sentir, mais Degan porte la marque des Parleurs, ces créatures légendaires capables de ressentir les émotions des êtres vivants qui les entourent. Or, les Parleurs ont disparu des siècles auparavant et non sans raison. Que peut bien signifier l’apparition de la marque ? Et comment un voleur de bas étage peut-il en être le porteur ?

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Classement en biblio - 36 lecteurs

extrait

Ses deux compagnons étaient probablement les personnes les plus importantes du monde à l'heure actuelle. Ils devaient mettre leurs différents de côté, et le plus tôt serait le mieux.

Au fil des années, le capitaine était devenu un fin connaisseur des relations humaines. En tant qu'instructeur et meneur d'hommes, il devait rapidement comprendre les motivations et les peurs de chacune de ses recrues. Il pouvait ainsi adopter un comportement adapté à chaque soldat afin qu'ils deviennent la meilleure version possible d'eux-mêmes.

Le colosse avait notamment appris les réactions auxquelles s'attendre en cas de conflit en fonction des types de personnalité. Il n'avait donc aucun doute que Degan essaierait de s'enfuir avant longtemps et Arkos devrait intervenir pour l'en empêcher. Le jeune homme était d'ailleurs étrangement proche des chevaux pour quelqu'un qui avait envie de marcher...

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Commentaires récents

Argent

J'ai été agréablement surprise par cette fantasy dont je n'avais jamais entendu parler avant de la découvrir via Prime Reading. Dès le début, j'ai apprécié le protagoniste, auquel je me suis facilement identifiée dans ses galères pour lutter contre la pauvreté. J'ai aimé que l'intrigue prenne le temps de s'installer, qu'on découvre d'abord le héros, qu'on se familiarise avec sa vie, son caractère et ses motivations avant de vraiment démarrer ses péripéties. Il y avait tout de même quelques longueurs, par exemple la description de la ville façon "tiens donc, je n'avais jamais pris le temps de regarder cette ville où j'ai vécu plus de 10 ans" était de trop.

L'arrivée de Neela m'a fait grincer les dents à de nombreuses reprises. Je l'ai trouvée tout simplement détestable : impatiente, colérique, butée et profondément injuste avec son élève. Elle passe son temps à lui aboyer des ordres sans jamais rien lui expliquer et s'attend à ce qu'il obéisse aveuglément sans rechigner, ben voyons ! Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai eu envie de lui renvoyer ses BAM. Heureusement elle se calme petit à petit et j'ai même fini par l'apprécier mais les débuts ont été rudes. Au moins, on ne peut pas dire que ce personnage manque de caractère. J'ai également apprécié les autres personnages, l'attitude d'Arkos en mode papa poule est touchante.

L'univers est intéressant, bien développé et les passages explicatifs sont bien amenés, d'habitude c'est le genre de moments qui m'endorment un peu mais là ils sont passés tout seuls. Idem pour le concept du Parleur, qui est plutôt original. Après, l'intrigue elle-même ne l'est pas tant que ça et souffre de quelques faiblesses : un peu trop d'heureux hasards dans les aventures, un méchant banal qui manque de substance tellement il est absent du récit, une guerre en préparation sur la simple parole d'un Esprit... Il manquait un petit quelque chose à mon goût et si c'est venu à la toute fin, ça m'a un peu laissée sur ma... faim, justement. D'autant plus que le coup de l'Esprit-Guide m'est un peu resté en travers de la gorge, c'est un procédé beaucoup trop cliché qui, de plus, apporte tellement d'informations que ça gâche pas mal de suspense et ne sert pas forcément à grand-chose (à part pour la Femme Libre).

En dépit de ces quelques défauts et de quelques maladresses dans le langage, le récit est fluide et prenant, ça se lit très bien et les personnages sont un vrai moteur. J'ai été révoltée par certaines de leurs rencontres (qui représentent fidèlement le genre humain, pas de doute là-dessus), émue par d'autres scènes et souvent amusée par leurs chamailleries. En bonus : quelques messages féministes qui ne tombent pas dans la lourdeur et font plaisir à lire. Je ne sais pas si je lirai la suite mais c'était en tout cas une lecture plaisante.

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Or

Très belle découverte, un premier tome très prenant et motivant !

L'histoire se met en place rapidement, et les personnages ont tous des personnalités très marquées avec des interactions plus qu'intéressantes.

Je lirai la suite avec plaisir et je conseille volontiers la lecture de ce premier volume.

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Diamant

Un premier tome au top. La lecture est fluide et super agréable. Les personnages sont originaux et bien différents les uns des autres. L'histoire se déroule rapidement. On découvre l'univers de l'auteur petit à petit. J'ai hâte de lire la suite.

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Bronze

Lecture agréable, mais pas un coup de cœur.

Roman fantasy, plein de bons sentiments. Le début est lent et à la fin, tout se précipite.

Après plus de 400 pages, il reste beaucoup à dire et le héros a encore beaucoup de choses à faire. Il y a un 2e tome (366 p.), me direz-vous, mais je crains que l’auteur ne doive bousculer tout le monde pour arriver au bout de l’histoire.

On verra !

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Argent

https://littcentcinquante.wordpress.com/2021/04/16/chroniques-des-parleurs-tomes-1-le-nouveau-parleur/

J’essaie de lire un peu d’auteurs auto-édités de temps en temps, histoire de sortir un peu des parutions des maisons d’édition classiques. J’ai profité d’une offre de F.J. Matthews en e-book pour découvrir le T1 de cette saga et je ne regrette pas.

C’était un sympathique roman de fantasy qui, à défaut d’offrir un univers ou une intrigue qui détonnent, a le mérite d’avoir des personnages attachants et un rythme plaisant. L’écriture de F.J. Matthews est assez « conventionnelle » mais elle se démarque par des traits d’humour caractéristiques. Les passages entre descriptions, actions, dialogues… sont maîtrisés et facilitent la lecture.

Je dois reconnaître que le pitch de base (un voleur qui se révèle être très important pour l’avenir de son monde) me plaisait bien, car j’avais hâte de voir comment la transition allait être faite « de malfrat à élu ». Je l’ai trouvée bien gérée pour le coup, même si le protagoniste est en réalité déjà un petit héros dans l’âme avant même devenir ce qu’il doit devenir. Son chemin vers sa destinée est donc plutôt aisé, même si évidemment les erreurs et les doutes sont au rendez-vous. Degan est ce genre de perso assez attachant, mais dont on attend quelque chose d’un peu plus « explosif ». J’aimerais qu’il soit moins sage et doué, même si c’est exactement ce qu’on attend de lui vu son rôle ! Les personnages secondaires sont aussi attachants, j’aime beaucoup Neela pour ma part, la femme âgée et colérique. Les personnages âgés ne sont pas assez présents dans les romans je trouve et, pour le coup, j’ai trouvé ça très chouette d’en amener un. Surtout que, pour le coup, Neela s’éloigne des clichés des persos âgés en fantasy ! Même si elle a certes plus de connaissance et d’expérience que les autres, elle est aussi irascible au possible, fière et terriblement exigeante. Les autres personnages, comme Tara et Arkos, sont aussi intéressants dans leurs caractéristiques et leurs failles.

Le scénario a encore pas mal de choses à nous faire découvrir, j’espère qu’il saura aussi se montrer innovant et pas trop linéaire !

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Lu aussi

J’en avais tellement entendu parler que je voulais absolument le lire (oui je suis faible.... parfois)

Je dois avouer avoir failli abandonner mais je n’ai pas baissé les bras et j’ai bien fait

L’écriture de l’auteur est fluide et agréable. Son univers est parfaitement travaillé et on sent bien que chaque détail n’est pas là par hasard.

J’ai également apprécié le partie pris de l’auteur pour la cause féminine et sans cliché. (Thank you)

Tout ce qui me fait aimer la Fantasy est réuni dans ce premier tome

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Lu aussi

Le nouveau Parleur est un super roman de fantasy. La plume de l’auteur est fluide, les personnages sont savamment construits, les péripéties et enchaînements sont logiques et bien amenés.

Ce que j’ai particulièrement apprécié, c’est le côté innovant des pouvoirs de Degan, tant sur le concept que dans son utilisation. Bon, de toute façon je suis vraiment trop fan de Degan, donc c’est difficile de lui trouver des défauts. Peut-être qu’il boit trop ?

Je dois reconnaître que j’ai encore plus apprécié la fin, probablement grâce à l’évolution du héros et d’une nouvelle rencontre piquante ! De nouveaux mystères s’ouvrent et donnent encore plus envie de découvrir la suite.

De mon côté, je vais aller me renseigner sur la nouvelle : Agent de la reine. Elle nous conte l’histoire de Berto, l’ami d’enfance de Degan, après que ce dernier a quitté leur ville.

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Or

Amatrice difficile de fantasy, je dois dire que j’ai été bluffée par cette histoire qui comporte tous les éléments essentiels à une bonne fantasy. L’univers, les personnages, l’intrigue, chaque élément est parfaitement travaillé et dévoile tout au long de l’histoire un potentiel que l’ont aurait imaginé de prime abord. Jusqu’à cette fin qui n’en est pas une et invite clairement à découvrir le tome suivant !

Vous l’aurez compris, je recommande sans réserve cette histoire qui sous son apparente légèreté aborde des thèmes de société importants (que j’ai apprécié voir aborder par un homme je l’admets). Dans l’immédiat je vais me jeter sur les nouvelles « l’Agent de la Reine » et « L’homme du peuple » !

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Pas apprécié

Retrouvez d'autres chroniques sur mon blog : https://lesfantasydamanda.wordpress.com/

--- Un gros flop ? ---

Je suis intimement convaincue qu’on ne peut pas tout aimer, que certaines lectures vont forcément nous décevoir. Et c’est exactement ce qui s’est produit avec Le Nouveau Parleur. Toutefois, n’oublions pas qu’un avis est toujours subjectif. Dès lors, si ce livre vous intéresse, n’hésitez pas à en consulter d’autres, bien plus positifs que le mien.

Quoi qu’il en soit, je remercie Franck J. Matthews pour l’envoi de son roman.

--- Cet univers que je redoutais un peu… ---

Les Chroniques des Parleurs est une saga que l’on pourrait qualifier de classique, tout du moins dans sa construction. Voleur sans avenir, Degan est pourtant l’élu destiné à détruire la menace qui plane sur le monde. Cependant, avant d’y parvenir, il doit apprendre à maîtriser des pouvoirs dont il ne soupçonne pas l’existence.

De plus, l’univers n’est pas sans rappeler les ambiances médiévales que l’on croise dans de nombreux romans de fantasy. Attention, cela n’est pas un reproche. Seulement, étant une grande consommatrice d’histoires de ce genre, j’apprécie davantage d’originalité.

Et pourtant, Le Nouveau Parleur ne m’a pas déçue sur ce point. Certes, l’innovation n’est pas au rendez-vous, mais le résultat est plutôt plaisant, notamment en ce qui concerne l’empathie du héros. Et c’est probablement le seul point positif que je citerai dans cette chronique…

--- Des débuts relativement lents ---

Ce n’est pas toujours un défaut, mais j’aime être happée dès les premiers chapitres – comme la majorité des lecteurs, j’imagine. Vous l’aurez deviné, ce ne fut pas le cas ici. Ceci étant dit, cela nous permet d’entrer dans l’univers en douceur, alors pourquoi pas ?

Ce qui m’a vraiment déplu, ce sont les nombreuses répétitions qui parsèment le récit. L’auteur rappelle constamment le passé de son héros ou insiste très souvent sur un trait de caractère qui lui est propre, ce qui crée des longueurs inutiles. Dommage !

--- Ces personnages… je ne peux plus les voir en peinture ! ---

Pour quelle raison ? Eh bien, ce sont tous des clichés ! D’ailleurs, le récit se veut très manichéen. Ainsi, les gentils sont toujours habités de nobles sentiments, tandis que les antagonistes font le mal par simple envie.

Mais parlons plus en détail du personnage principal, Degan. L’auteur a souhaité lui donner des airs d’anti-héros, mais cela ne fonctionne pas. Ses intentions sont toujours louables, malgré un comportement un peu rustre, parfois. Et puis, son évolution est bien trop rapide pour être crédible. En quelques jours à peine, il se laisse convaincre de débuter une nouvelle vie, faite de droiture et de combats pour la justice, alors qu’il dit vouloir s’échapper dès que possible. Enfin, Franck J. Matthews lui prête une intelligence supérieure, ce qu’il tente de démontrer par de brillantes idées, mais celles-ci sont souvent invraisemblables. Et, surtout, elles ne m’ont nullement impressionnée…

Notez que Degan est accompagné d’une grande guerrière, prénommée Neela. Et j’ai rencontré le même problème avec cette dernière. L’auteur a tenté de lui offrir un caractère bien trempé, mais verse dans l’excès. Malgré un bon fond, Neela se met en colère pour la moindre bêtise. Résultat : elle tombe dans le cliché de la cheffe qui n’hésite pas à réprimander son apprenti lorsqu’il se montrer grossier ou idiot. Bref, c’était vraiment too much. Or, j’ai l’impression que tous les personnages de la série ont été créés sur le même principe…

--- Un scénario cousu de fil blanc ---

J’ai rapidement entraperçu un schéma récurrent dans la construction de l’histoire. Si l’on excepte les débuts, on pourrait d’ailleurs résumer ce premier tome comme suit : les héros se rendent d’un point A à un point B, font une nouvelle rencontre, sont confrontés à un problème épineux qu’ils parviennent ensuite à résoudre, pour finalement reprendre leur route, enrichis de nouvelles expériences.

Alors, certes, de nombreux livres se basent sur ce modèle, mais il était bien trop présent ici. Il est donc très facile de deviner les dessous de l’intrigue et, par conséquent, les événements du chapitre suivant. Vous l’aurez compris, je me suis beaucoup ennuyée durant ma lecture !

--- Un final rempli d’action, et pourtant… ---

…je ne poursuivrai pas la saga, c’est une évidence. Néanmoins, je reconnais que l’histoire semble aborder un tournant intéressant à la fin de ce premier volet. Naturellement, au vu des reproches formulés plus haut, cela ne suffit pas à remonter le niveau.

Bref, c’est un gros flop !

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Or

« Ρεsτε ετ mαlερεsτε ! » la suite n’est pas encore sortie, il va falloir attendre.

L’histoire est prenante dès le début du livre et il m’a été difficile de le lâcher avant la fin. L’univers dans lequel nous évoluons est très bien décrit, sans lourdeur. Les personnages sont attachants et nous entraînent avec eux dans leurs péripéties.

Chaque personnage, Degan, Neela et Arkos, a sa personnalité très prononcée et une dose d’humour bien à lui.

La plume de l’auteur est fluide et addictive. J’ai été entraînée dans ce magnifique voyage.

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Date de sortie

Les Chroniques des parleurs, Tome 1 : Le Nouveau Parleur

  • France : 2020-02-23 (Français)

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